La fiche technique de synthèse "Compatibilité des parquets avec les planchers chauffants et chauffants-rafraîchissants" est téléchargeable sur le site web : www.parquetfrancais.org

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Fruit des résultats d’une étude menée par le FCBA pour l’UFFEP, elle fait le point sur toutes les caractéristiques techniques des parquets et les règles de mise en œuvre à respecter pour une pose compatible avec un plancher chauffant ou chauffant-rafraîchissant, qu'il soit électrique ou hydraulique.

Comme il est difficile de récupérer d'authentiques parquets anciens, les fabricants proposent des parquets vieillis reproduisant les traces du temps sur le bois : bords cassés, chanfreins irréguliers, trous de vers, fentes ouvertes, décolorations...

Ces effets sont obtenus grâce à des procédés mécaniques, manuels et chimiques, et accentués par une teinte, une céruse, ou la finition de protection choisie.

Sain et antistatique, le parquet ne produit ni poussières, ni particules, et il ne retient aucun acarien. La marque "Parquets de France" garantit un classement A+ ou A dans le protocole AFSSET (Agence française de sécurité sanitaire de l'environnement et du travail), donc sans crainte pour les voies respiratoires. Les vitrificateurs élaborés en phase aqueuse ont une très faible teneur en COV (composés organiques volatils). Celle-ci est nulle chez les huiles incolores.

Isolant thermique naturel, le parquet ne se refroidit pas en hiver et il reste frais en été. Il contribue à l’équilibre hygrométrique de l’air ambiant, dans une maison bien aérée et ventilée. Il apporte une isolation acoustique quand il est collé en plein sur une sous-couche isophonique.

L’industrie française des parquets consomme moins d’énergie et émet moins de CO2 que la fabrication d’autres revêtements à base d’énergies fossiles. Les déchets de coupe sont réutilisés. Provenant des forêts françaises ou européennes, le bois suit des filières courtes. Et il garde captifs de grands volumes de CO2.